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14 janvier 2011

EPILOGUE DU COMBAT YEKINI /BOMBARDIER

Le B52 fait allégeance au "Roi"

Lors du bilan du combat du 2 janvier tenue jeudi 14,  avec la presse, Bombardier a félicité Yékini et se dit prêt à donner de la chance à la jeune génération.

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«Je ne savais plus si j'avais choisi pile ou face pour la place que je devais prendre pour le combat». C'est ce qu'a déclaré le B 52 de Mbour. Bombardier a reconnu sans réserve sa troisième défaite devant le "Roi" des arènes. Pour Yékini "tous les moyens étaient bons pour gagner ce combat", a affirmé l'enfant de Bassoul. Interpellé sur le protège dents qu'il avait mis le jour du combat, il soutient qu'il ne voulait pas faire un tour chez «Ardo» (médecin de l'arène). Mais, précise-t-il, «ce n'est pas la première que je le met». Ce dernier a réaffirmé son engagement de ne plus lutter avec Bombardier après trois face à face. Ce que le B 52 a accepté et se dit prêt à donner de la chance aux jeunes lutteurs. «Je n'ai pas encore terminé ma carrière et je n'attends que les promoteurs», renseigne-t-il. Yékini n'est pas de cet avis. Pour ce dernier, la jeune génération ne doit pas brûler les étapes. Le Mbourois à qui l'on a reproché de favoriser la force de frappe soutient toutefois qu'on ne peut pas lutter sans donner des coups. «Mes défaites n'ont rien à voir avec la frappe, car celle-ci ne donne pas de victoire», dit-t-il. Evoquant la fin de sa carrière, le "Roi des arènes" souligne qu'il en est au crépuscule et bientôt il laissera le terrain aux jeunes de son écurie. Le B52 était vraiment en mode «fair play» lors de ce face à face. Ayant prévu une cérémonie de remerciement pour ses supporters samedi à Mbour, ce dernier l'a reportée à mercredi pour ne pas faire ombre à la tournée du Roi des arènes dans son fief à Joal ce samedi. 

                                                                                            Gaëlle YOMI et Ngoya NDIAYE

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